À propos

Découvrez le parcours académique et professionnel du Docteur Dêwanou Casimir AKPOVI

Docteur Dêwanou Casimir AKPOVI

Profil académique

Nom complet :

Dêwanou Casimir AKPOVI

Fonction actuelle :

Professeur Titulaire en Biochimie et Physiologie

Affiliation :

École Polytechnique d'Abomey-Calavi (EPAC)

Spécialisation :

Sciences biomédicales

Université :

Université d'Abomey-Calavi

Domaine de recherche :

Biologie moléculaire, Santé publique, Pharmacologie

Performance académique
61
Publications scientifiques
159+
Citations internationales
3
Thèses de doctorat
17
Mémoires de master

Formation académique

2009
Ph.D. en Pathologie et Biologie Cellulaires

Université de Montréal, Canada

Thèse sur les mécanismes moléculaires des maladies métaboliques

2004
Master en Sciences Biomédicales

Université de Montréal, Canada

Spécialisation en biochimie clinique

1997
Diplôme d'Ingénieur des Travaux en Analyses Biomédicales

Université d'Abomey-Calavi, Bénin

Formation en analyses biomédicales

1993
Baccalauréat Série D (Mathématiques et Sciences Naturelles)

Bénin, Bénin

Formation scientifique de base

Fonctions et responsabilités

Responsabilités actuelles
Responsable de l'Unité de recherche sur les maladies non transmissibles et le cancer (UR-MNTC)

EPAC, UAC

Chef du Service de la prospective et des relations extérieures (SPRE)

École Polytechnique d'Abomey-Calavi, UAC

Coordinateur du Master en Biochimie et Génétique en Santé (BGS)

EPAC, UAC

Expériences passées

Biographie

Titulaire d’un doctorat en sciences biomédicales, le Dr Casimir D. AKPOVI est Professeur Titulaire en Biochimie et Physiologie à l’Université d’Abomey-Calavi. Expert en biotechnologies médicales, il développe des solutions biomédicales adaptées aux réalités africaines, optimisant les pratiques de laboratoire et l’intégration des technologies dans les systèmes de santé. Consultant, il accompagne la transformation des infrastructures sanitaires par des technologies durables. Ses travaux sur la prédiction et la prévention des maladies non transmissibles contribuent à l’amélioration de la santé publique en Afrique.